Témoignages 1

Nicolas, 26 ans : "La thérapie, dans un premier temps, m'a aidé à affronter une peur terrible d'une intervention chirurgicale avec la technique de l'EMDR-INES*, et le fait d'en parler m'a beaucoup apporté. J'étais quelqu'un de très renfermé et qui en général garde tout pour soi. J'avais énormément de mal à me confier et à dire ce que je ressens. Avec la thérapie, on travaille pour m'aider à m'exprimer, dire les choses comme je les vois. J'ai encore du mal aujourd'hui, mais je sens une amélioration. J'ai aussi un dernier point sur lequel je passe beaucoup de temps ces derniers jours. J'ai retrouvé une amie, qui aurait pu être la femme de ma vie, si nous n'avions pas été séparés. Depuis plusieurs années, j'avais une question qui m'obsédait et avec la thérapie, j'ai appris que je connaissais la réponse. J'ai quand même besoin de l'entendre de la bouche de la personne et j'envisage avec l'aide de la thérapie de lui venir en aide.
Je peux dire aujourd'hui que je me sens mieux, même si je dois encore travailler, je m'affirme plus qu'avant. Merci…"

Henri, 12 ans : "Quand j'ai commencé la thérapie, ça a tout changé car avant je faisais de l'asthme et grâce à la thérapie, ça a tout changé. Maintenant je peux reprendre toutes mes activités et mon docteur a supprimé mon traitement, ça m'a fait du bien. On fait plusieurs activités pour dire ce qu'on ressent, comme par exemple, avec le rire, prendre des arbres dans nos bras, voir les chevaux etc. Ça m'a plu et ça m'a aidé aussi à m'affirmer pour me débarrasser de mon asthme."

Charles, 14 ans : "J'ai trouvé cette thérapie extraordinaire, c'est comme de la magie, si vous avez un problème il vous guérira, il va vous aider à aller mieux : je vous le garantis. Ça se déroule avec plusieurs exercices : du rire, de la musique, et même du poney, ça va très bien. L'exercice de rire consiste à rire ensemble ce qui est très amusant, l'exercice de musique vous rappellera peut-être des souvenirs atroces, c'est que comme ça qu'il pourra vous aider. L'exercice du poney vous retirera la peur en vous. Voilà c'est tout."

Philippe, 50 ans : "Je souffre depuis 3 ans d'un état anxio-dépressif, mes angoisses du matin sont très handicapantes. L'exercice de ma profession en est menacé. Ma thérapie consiste à trouver ce que disent ces angoisses. Le travail analytique m'aide à les accueillir. Différentes approches sont utilisées : l'EMDR-INES*, l'équithérapie, la sylvathérapie, la relaxation et la somatanalyse. Par son professionnalisme, sa disponibilité et sa générosité, mon thérapeute m'aide à trouver les ressources qui sont en moi. Mais il me faut travailler de manière intensive."

Joëlle, 54 ans : "J'ai fait appel à l'association par rapport à mon appréhension et ma peur quant à l'issue de l'intervention chirurgicale que devait subir mon fils. La peur a disparue grâce à la technique de l'EMDR-INES*.
Ensuite, j'ai travaillé sur mes problèmes de couple : mon mari est désordonné, il veut toujours avoir raison et il me rabaisse, il est joueur pathologique (tiercé, tickets à gratter,…). Mais avec mes changements de comportements, je peux dire que ma thérapie nous a beaucoup aidés tous les deux malgré son hostilité à ce que je m'investisse dans cette démarche.
Mon thérapeute m'a proposé un travail d'affirmation de moi, de prise de parole et de réorganisation des habitudes du foyer. J'ajoute qu'il y a plus de dialogue entre mon fils et moi.
L'aventure continue… "

Mathilde, 11 ans : "La thérapie m'a appris à écouter, à me concentrer et à être patiente. Je me sens mieux dans ma peau...
J'ai aimé la relaxation (beaucoup de bien), la technique avec les yeux et les sons est très pratique et m'a guéri de certains mots qui m'agressaient. Je me comprends mieux avec les copines. La famille me considère plus comme une grande. Fatie, je suis contente de t'avoir trouvé comme professeur de thérapie, j'aimerais que tout le monde en profite."

Témoignages 2

Laurent, 37 ans : "Je suis commercial depuis un certain nombre d'années dans l'automobile, j'ai fait une dépression suite à une trahison de mes employeurs. Je croyais que tout était de ma faute, je me sentais coupable. Il est très dur de dire ce que l'on subit et encore plus dur d'accepter la "maladie". J'étais gêné de ne plus travailler, et surtout d'être en arrêt de travail (dans ma tête, je profitais d'un système). Je ne sortais plus, je ne supportais plus personne, dur pour une personne qui est commercial.
Ma compagne et moi, nous avons décidé de me faire suivre par un psychothérapeute. J'ai fait la connaissance de Fatie, nous avons adapté une thérapie qui me convenait avec une confiance absolue.
Aujourd'hui, je suis très bien, ma vie est bouleversée dans tous les sens du terme, je ne suis plus le même Laurent.
Avant, je fonçais, aujourd'hui je réfléchis sur tous les points positifs ou négatifs de la vie.
J'ai fais des CV et des lettres de motivation concernant des emplois de commerce et le résultat est stupéfiant. Je dis mes motivations, ce que moi je recherche d'un employeur.
J'adapte mon travail pour moi, tout en respectant les challenges.
Maintenant, pour les gens contre qui j'avais de la haine, je me dis qu'ils ont un problème et qu'ils sont malheureux, moi je suis heureux.
En conclusion, grâce à ma dépression, j'ai ouvert les yeux, mon regard et mes pensées ont changé, je vis autrement les instants présents."

Nathalie, 33 ans : "Depuis l'âge de 16 ans et pendant quatre années, je me suis occupée de ma mère qui avait une maladie très grave. Avant son décès, elle m'a confié la charge de ses 2 enfants qui lui restaient, âgés de 6 et 14 ans, moi j'en avais 20 à l'époque, ainsi qu'un père à qui je devais apprendre le quotidien. Depuis quelques années, ma vie ne rimait à rien, je vivais dans la peur, le stress et l'angoisse des maladies même bénignes. A ce jour, j'ai fait appel à un grand monsieur qui s'appelle Fatie et que j'admire avec le plus grand respect. Il m'a aidée à comprendre que je refusais d'accepter la personne que j'étais et j'ai réalisé que je voulais ressembler à ma mère mais ce n'était pas du tout ma personnalité. Je fuyais le présent et voyageais dans le futur ainsi que le passé. Maintenant, j'ai l'impression d'être revenue à mes 16 ans avec la maturité que j'ai acquise et la découverte vers le chemin de la vie, et franchement, j'adore cette sensation d'exister, je profite et prends le temps de vivre. Mes angoisses étaient liées à la maladie de ma mère. Mon thérapeute m'a proposé de travailler l'affirmation de moi par la Sylvathérapie, sur mes peurs par la technique des mouvements oculaires et des sons (EMDR-INES*), sur mon développement personnel par la relaxation et la somatanalyse."

Nathalie, 39 ans : "Un jour, voilà, je me suis décidée, j'ai appelé Fatie.
Mon petit garçon de six ans n'allait pas bien. Je ne me doutais pas que tous les noeuds de ma vie déteignaient sur sa personnalité. Petit à petit, il a fallu, avec l'expérience de Fatie et avec mon adhésion, l'un ne va pas sans l'autre, tous les démêler. J'y vois maintenant plus clair dans mon passé et je peux reprendre ma vie en main en me servant des conseils précieux qui m'ont ouvert l'esprit. Je suis plus sereine, j'ai appris à me connaître, à comprendre les membres de ma famille et à avoir confiance en moi.
J'ai croisé la bonne personne : merci Fatie pour ton immense dévouement."

Témoignages 3

Valérie, 40 ans, nous témoigne de sa séance de sylvathérapie : "Choisir un arbre comme on choisit un sapin de Noël…

Une promenade dans le bois, je suis dans mon élément : le " silence ", la " solitude ", je suis bien… Pas besoin de parler, des petits bonheurs de couleurs et de parfums de terre sont à ma portée, il suffit juste d'en profiter…
Au détour d'un chemin, je choisis un arbre selon mes critères : bien enraciné, vigoureux de vie, doté d'une épaisse écorce qu'il le protège; il se dresse fier malgré la pente prés de lui, branches tendues vers le ciel, " il est bien nourri et bien en vie ".

J'aimerais le saisir à bras le corps… Je cherche son contact… J'en fais le tour, une main posée sur lui. J'ai levé les yeux vers la cime que je ne peux qu'apercevoir, c'est vertigineux, on se sent si petite à côté. J'aimerais pouvoir le prendre dans mes bras mais je ne peux pas. Je sens pourtant le besoin de rester en contact avec lui en y laissant ma main. J'ai essayé une autre approche mais seul le corps a répondu, la tête ne se laisse pas aller… je force mais je me sens mal à l'aise, je suis prise d'un vertige.

Chemin faisant, un autre arbre différent, à plusieurs troncs. Je me place au centre, je me sens moins impressionnée, plus sécurisée et plus libre mais tout semble plus fragile… C'est l'atmosphère que je connais le mieux.

La promenade se termine…, au détour d'un chemin et à l'écart du regard, un arbre a été coupé, de vieillesse sans doute ? Une " petite " partie reste émergée, je grimpe, c'est haut ! J'ai GRANDIE, j'ai ouvert les bras et fermer les yeux et LA PAIX M'A ENVAHIE… Je n'ai pas besoin de sécurité dans ce bien-être. Seule, je serais sûrement passée sans le voir, comme quoi…

J'ai voulu ressentir à nouveau ce bien-être : j'ai fait l'arbre dans mon lit, j'ai ouvert simplement les bras, fermé les yeux, une vague est montée, les larmes ont coulées, un vrai soulagement… je n'avais pourtant pas de tristesse à ce moment là.

S'il m'était donné de choisir maintenant, sachant tout ça, je choisirais le dernier arbre.

J'ai des envies inaccessibles, des sécurités bien fragiles, mais si j'accepte de grandir un peu et de sentir mes racines sous mes pieds, je renaîtrais à la vie et ÊTRE bien dans cette vie."

Témoignages 4

Jean-Paul, 41 ans : "Je suis célibataire et je souffre de ce que l'on appelle un trouble bipolaire de l'humeur. Je suis actuellement en réorientation professionnelle. Avec l'aide de Fatie, j'ai utilisé différentes techniques thérapeutiques pour me permettre d'aller mieux. Les séances d'EMDR-INES* m'ont permis de gérer mes peurs et j'ai appris à être mieux avec moi-même grâce à la méthode d'autorelaxation de Schultz. D'autre part, j'ai expérimenté l'affirmation de soi par la technique de la " chaise brûlante ".
Dans une approche différente, j'ai découvert, par la sylvathérapie, le contact avec la nature, une ouverture des sens, un ancrage et un épanouissement personnel. J'ai aussi réalisé un travail de deuil en ce qui concerne la mort de mon père. Grâce à l'intervention à domicile, j'ai commencé à changer mes habitudes de vie : j'ai entamé une formation informatique, je me suis mis au chant et je découvre la cuisine… J'aimerais être encore plus affirmé, autonome et me réaliser dans une vie professionnelle et familiale."

Laurence, 35 ans : "J'ai fait appel à l'association PSOMA fin août 2007. À cette époque, j'étais très mal, en "dépression", je pleurais toujours, j'avais des idées noires, je ne supportais plus personne, mon mari, mes enfants et moi-même. C'était très douloureux. Je me posais énormément de questions sur ma vie. Je ne trouvais plus ma place ! Qui suis-je ? Est-ce vraiment la vie que je veux vivre ? Suis-je avec la bonne personne ? Aujourd'hui grâce à ma thérapie tout cela me paraît bien loin, j'ai pris à nouveau confiance en moi, j'ai les yeux grands ouverts sur la vie, j'ai retrouvé ma place de maman et d'épouse au sein de ma petite famille, je peux dire que je suis à nouveau heureuse malgré les difficultés de la vie de tous les jours, je suis plus forte, je sais ce dont j'ai besoin et j'ai appris à "être à l'écoute de mon corps". Je vous souhaite aussi à vous qui lirez ce témoignage, courage, ayez confiance et vous arriverez comme moi à voir les beaux jours.
Je profite de ce témoignage pour remercier chaleureusement Fatie qui, par sa générosité et son écoute exceptionnelle, m'a appris à vivre chaque instant présent. Merci ! Merci ! Et encore merci !"

Emilie, 29 ans : "Le premier jour du reste de ma vie…

Comme le dit une chanson et un film aussi, le premier jour du reste de ma vie c'est le jour ou j'ai compris que j'avais un problème et que j'étais bloquée…
Bloquée dans cette tour que j'ai moi-même construite pour me protéger, me protéger de tout et de tout le monde.
Le destin a été clément avec moi, il m'a fait rencontrer Fatie.
C'est surtout avec la sylvathérapie que je me suis rendue compte que ma carapace m'empêchait de vivre pleinement et aussi que mon comportement pouvait blesser mes proches.
Je voulais en sortir et je vais m'en sortir même si ce n'est pas toujours facile de changer ses habitudes.
Et puis le destin a été encore clément avec moi. Il m'a aidé à avancer à travers des petits ou grands obstacles durant ces quelques mois passés… (les galets, les rendez vous, la mort de mon oncle)
Aujourd'hui, j'ai changé de façon assez impressionnante. Je suis plus ouverte, plus facile d'accès. Je me confie aux gens, je dis plus facilement les choses qui me blessent, qui me rongent.
Je sais que j'ai encore du chemin à faire. Mais aujourd'hui je suis dans la lumière, elle m'inonde et les gens disent de moi que je suis radieuse.
Alors ça me va…
Merci encore à toi Fatie."

Témoignages 5

Bélinda, 23 ans, nous témoigne de sa séance de "Meumeuthérapie"

"Souvenir de la " Meumeuthérapie "...

Comme je le précise dans le titre ce que je vais vous raconter maintenant est un souvenir inoubliable que je revivrai encore si la moindre occasion se représentait.

Cela remonte à il y a environ 2 ans, j'ai entamé une thérapie personnelle qui m'a amenée à travailler sur mes peurs profondes ; j'ai émis le souhait à Fatie, mon thérapeute, d'approcher un animal qui à la fois m'attirait et m'effrayait en même temps : la vache.

Accompagnée par mon thérapeute et grâce à un de ses patients Denis, que je tiens à remercier encore, et qui connaissait une ferme près de chez lui où il va chercher son lait, j'ai pu réaliser mon rêve (rencontrer des vaches) et également faire la connaissance d'une charmante fermière qui s'est prêtée à cette expérience avec beaucoup d'humanité. En effet, équipée de son bâton, elle m'a présentée à son troupeau de vaches (une bonne trentaine) avec précaution et m'a mise en confiance.

A première vue, elles sont impressionnantes, à voir par leur taille et leur corpulence. J'ai ensuite approché celle qui me plaisait le plus : elle était magnifique et majestueuse cette " Vavache ". Tout d'abord, je l'ai caressée et ensuite serrée dans mes bras : c'était génial et agréable à vivre, et ma récompense a été une lèche pleine de bave de remerciements pour mettre occupée d'elle.

Nous sommes restés une heure et demie environ pendant laquelle j'ai vécu cette magnifique expérience et également instruite sur le monde des vaches qui est pour moi un animal fascinant et très intelligent. La visite s'est terminée par la traite qui est assez complexe et pointilleuse. Nous sommes repartis avec une bouteille de lait tout chaud que la fermière m'a offerte : trop top !

Depuis, ma vie a beaucoup évolué, j'ai grandi dans ma tête et j'ai appris à gérer mes peurs.
Avant, je m'inquiétais pour rien, je planifiais ma vie comme un emploi du temps de collégien. Désormais, pour moi, la vie est une leçon de tous les jours et j'ai remarqué que depuis que j'ai fait ma thérapie la vie me sourit plus. Je suis comblée de bonheur aussi bien en famille, en amour, en amitié et également sur le plan professionnel même si il y a des hauts et des bas. Car je suppose qu'avant j'étais tellement noyée dans mes problèmes que ce bonheur passait à côté de moi. D'ailleurs, mes amis me trouvent littéralement changée, plus souriante, gaie, plus sociable. Par ailleurs, je travaille actuellement dans un établissement scolaire ce qui contribue à ma socialisation.
Enfin, je sais que si un jour je ressens le besoin d'une thérapie, je n'hésiterai pas. Je souhaite bon courage aux lecteurs de mon témoignage et sachez que vous êtes en de très bonnes mains."

Témoignages 6

B, 29 ans : j'ai fait appel à l'association PSOMA parce que je vivais avec un homme qui manquait d'affirmation vis-à-vis de sa mère. Ce qui a entrainé des difficultés autant dans son travail que dans notre vie de couple. En effet, je ne supportais plus qu'il n'assume pas ses responsabilités. Mon thérapeute nous a pris en charge et nous a proposé un travail tantôt individuel tantôt en couple. Pour ma part j'ai travaillé sur mes peurs avec la technique de l'E.M.D.R qui a fonctionné et qui me permet aujourd'hui d'assumer les situations de conflits. J'ai observé un grand changement chez mon mari qui ne laisse plus les autres se mêlaient de notre couple. Pour cela, le thérapeute lui a proposé une technique appelée "la chaise brulante" et le "cri primal".

Aujourd'hui je vis avec mon époux avec plus de sérénité, nous communiquons plus, nos projets d'avenir sont plus sains et stables. Je me sens plus heureuse et confiante pour mon couple.

demander de plus ?!... "

Témoignages 7

Sylviane, 45 ans : " J'ai fait la connaissance de Fatie en 2005 grâce à un membre de sa famille. Je me suis sentie tout de suite en confiance avec lui : parler devenait facile pour moi.

J'ai contacté Fatie fin février 2011 pour lui demander le nom d'un psychothérapeute près de chez moi car je ne pouvais plus reculer, ni repousser un travail thérapeutique devenu très urgent. Mais j'avais peur aussi de ne pas y parvenir si je n'avais pas confiance en mon " psy ". Quel soulagement (je dirai même quel bonheur) lorsque Fatie s'est proposé de m'accompagner dans ma démarche de reconstruction. Maintenant, je savais que j'y arriverai car ma confiance, Fatie, l'a depuis longtemps.

Lors de notre première séance, il a fallu beaucoup me raconter, car, depuis le mois de novembre 2010, mon état de santé se détériorait peu à peu : je souffre d'asthme, d'une thyroïdite auto-immune, d'une double mastose. J'accumulais les rendez-vous chez le médecin traitant, les spécialistes, les prises de sang, les radiographies et échographies. Je ne voyais pas la sortie du tunnel : plus j'avançais, et plus j'avais d'examens complémentaires à passer, à subir. Le pire ne pouvait pas être loin ! Le 16 février, lors d'une nouvelle consultation chez l'endocrinologue, celui-ci m'apprend que je viens " d'éviter un mur " : il pensait que mon corps considérait mes glandes endocriniennes pour des corps étrangers et donc les détruisait. Ouf, ce n'était pas le cas ! Mais il supposait alors que ça pouvait être un adénome hypophysaire. Nouveau coup de massue !

Mon conjoint Bernard (nous vivons ensemble depuis 18 ans et avons eu un garçon âgé de 17ans) ne m'accordait pas l'attention à laquelle je pensais avoir droit, je me suis éloignée de lui peu à peu, j'ai même envisagé, très sérieusement, de partir. Pour qu'il me laisse, je lui ai fait croire que j'avais une relation avec un autre homme. Je reconnais que je suis allée loin, très loin mais je ne supportais plus son attitude. A cela, venait aussi se greffer mes relations houleuses avec ma mère et le deuil de mon grand-père que je n'avais pas encore fait, bien qu'il soit décédé depuis deux ans déjà.

Fatie nous a proposé un travail individuel pour Bernard et moi, avec des temps de thérapie de couple. Parler avec Fatie ne m'angoisse pas, au contraire je me sens soulagée, écoutée, conseillée. Bien sûr, il faut affronter ses " démons ", toutes ces choses que l'on a enfouies en soi et que l'on voudrait bien oublier. Seulement, pour avancer, il faut les regarder en face et les affronter à bras le corps. J'arrive à le faire parce que maintenant j'ai le soutien de mon conjoint et de mon thérapeute. Aujourd'hui, j'avance sereinement sur le chemin de ma reconstruction, chaque jour un peu plus et à chaque jour suffit sa peine. Et je vais déjà beaucoup mieux qu'en février dernier, pas de comparaison possible ! Pour preuve : ma santé commence à s'améliorer et surtout pas d'adénome hypophysaire. Donc le pire a été évité parce que je me suis " prise en main ". Mon couple est sur la bonne voie puisque nous avons décidé de nous marier l'année prochaine et Fatie a accepté d'être un de mes témoins.

Je viens de perdre mon travail mais je sais aussi qu'il était en partie responsable de mon stress et de mes angoisses. Ainsi, je le prends comme une bonne nouvelle ! J'envisage de faire un bilan de compétences et de me mettre activement à la recherche d'un poste qui me conviendra mieux. Le pire, c'est que je n'angoisse pas, le pire non, tant mieux !

Ma séance préférée depuis le début de la thérapie est sans hésitation aucune, la sylvathérapie en juillet. Depuis le temps que Fatie me demande d'écouter la " petite fille " qui est en moi, ce jour-là, je l'ai fait et je me suis sentie renaître. Oui, j'aime la forêt et je m'y sens particulièrement sereine et apaisée. J'ai toujours eu le sentiment que la forêt me protégeait, me réconfortait. Mon prénom ne vient-il pas du nom " sylva ", la forêt en latin : il n'y pas de hasard… J'ai suivi tous les conseils de Fatie et participé à toutes les activités avec beaucoup de sérieux et d'attention. Mais ce jour-là, je me suis amusée sur les troncs et les souches d'arbres qui nous entouraient. Je retombais en enfance et je me suis sentie tellement épanouie.

L'exercice que je redoute le plus : la " chaise brûlante " ! Pas facile de me mettre à la place des personnes qui m'ont dévalorisée et soumise d'une certaine façon à leurs désirs ; elles m'ont fait douter de moi à un point tel que je manquais totalement de confiance en moi. Mais, je progresse…

Je sais qu'il me reste encore du chemin à parcourir pour retrouver et écouter plus souvent " la petite fille " qui vit en moi. Et je suis certaine d'y arriver et pour deux raisons : je le souhaite ardemment et j'ai le soutien de Fatie et de Bernard qui prend de plus en plus sa place, alors que

Témoignages 8

D, 17ans : "J'ai demandé de l'aide à l'association PSOMA pour des peurs liées à des idées obsessionnelles qui m'empêchaient de vivre et de dormir normalement.
Avec Fatie, je me suis rendu compte que je subissais une forme de harcèlement. Nous l'avons identifié et j'ai compris que ces idées représentaient pour moi un refuge, les soins qui m'ont été apportés consistaient à utiliser la technique du " Cri Primal " qui m'a aidé à évacuer ma colère liée au harcèlement.
Depuis je vais beaucoup mieux, j'ai gagné en assurance et en affirmation. Je fais de véritables choix et je vis en pleine conscience.
Prendre conscience peut faire peur, mais c'est la voie de la guérison."

"Le pardon est la voie qui conduit à l'amour. Je me libère avec amour du passé et je tourne mon attention vers cette nouvelle journée."

N, 32 ans : "Apres une longue réflexion, je me suis enfin décidée à contacter l'association Psoma pour commencer une thérapie en mars 2017.

A 32 ans, je ne savais pas qui j'étais car prisonnière de mon passé.

J'ai refoulé depuis des années de grandes souffrances liées à un souvenir douloureux vécu dans mon enfance (une agression sexuelle par un proche de mon entourage).
Avec l'écoute bienveillante et la patience du thérapeute, j'ai réussi à me confier sur ce douloureux passé et c'est pour moi un immense pas, j'apprends à libérer ma petite fille intérieure que j'ai depuis bien longtemps abandonnée. C'est avec les techniques de la " chaise brûlante ", de " l'EMDR " et du " Cri Primal " que j'ai pu exprimer ma colère et soigner mes plaies.
Ces souffrances liées au passé m'ont fait ressentir beaucoup de colère que j'ai dirigée envers moi-même, avec la technique du " Cri Primal " associée à la Sylvathérapie, j'ai réussi à libérer une partie de cette colère, j'apprends à lâcher-prise, j'ai du travail à ce niveau mais je suis confiante.
A l'adolescence, j'étais obèse, victime de moqueries, aujourd'hui je garde des séquelles du passé, j'ai une mauvaise estime de moi, le travail thérapeutique m'aide à mieux accepter mon image afin d'avoir confiance en moi.
Après une rupture amoureuse qui avait duré plusieurs années, j'essaie d'apprendre par la thérapie ce qui a été et ce qui ne l'a pas été, afin de ne pas reproduire les mêmes erreurs.
Je suis fière de l'évolution des choses depuis le début de la thérapie, j'apprends à me connaître et j'arrive à mieux savoir qui je suis.
J'apprends à être bien avec moi-même et par la suite, être bien avec les autres, c'est un beau cheminement.
Accepter de faire un travail sur soi fait parti des meilleurs choix de ma vie, d'ailleurs j'ai un regard assez positif sur ma vie.
J'encourage chaque personne qui souhaite vaincre ses peurs, être bien avec soi-même... d'entamer un travail sur soi afin de poursuivre son chemin de vie avec plus de sérénité.

Je remercie Fatie pour son professionnalisme"

Cédric, 36 ans : "peur de tout et me renfermant de plus en plus (plus de dialogue avec les gens que j'aime), je décide de faire une thérapie.
Avec mon thérapeute, j'ai assez vite compris que je n'avais pas fait le deuil de mon père défunt. Fatie m'a proposé une démarche de deuil avec un galet sur lequel j'ai pu exprimer un message à destination de mon père et que j'ai déposé sur sa tombe. Pour moi " laisser partir mon père " fut une vraie libération pour pouvoir vivre pleinement. Mon mieux-être a très vite été remarqué par mon entourage familial et amical.
La Sylvathérapie et le toucher avec les arbres m'a permis de rentrer en lien avec le souvenir paternel qui me manquait.
La Chaise brûlante a été un moment fort pour mettre des mots sur mes maux à mon père.
Le Cri primal m'a aidé à comprendre que j'avais de la colère envers moi-même car ma prostration, non seulement me rendait malheureux mais créer beaucoup de douleur autour de moi aussi. Le Cri primal a autorisé l'expression de cette colère, de m'en libérer et m'a engagé dans un nouvel élan de vie.
Le Rebirth m'a permis de réaliser que je faisais un amalgame (confusion) entre mon père décédé et moi vivant.
J'accepte de vivre ma vie et m'engage sur un travail personnel pour améliorer mes imperfections et vivre pleinement.

A SUIVRE …"

Témoignages 9

F, 27 ans : J'ai eu la chance, de faire une séance de Sylvathérapie en compagnie de mon amie et de notre thérapeute. En ce beau mercredi printanier, nous avons choisi le Mont Noir.
Comment exprimer ce que je ressens actuellement ? Je choisirai le mot "révélation". Une prise de conscience de quelque chose déjà présente mais complètement enfouie en moi sous une tonne de souffrance.
Je suis passée par différentes étapes émotionnelles bien distinctes. En arrivant, j'étais très mal à l'aise et très peu disponible. Le rejet m'avait complètement envahie et mes défenses étaient armées jusqu'aux dents. Aux premiers contacts avec l'arbre, j'ai ressenti une grande gêne, une envie de partir, tout était très extérieur et superficiel. Ensuite, je me suis laissée aller sur l'arbre, la joue contre l'écorce, j'ai craqué et les larmes sont sorties. J'étais à ce moment là, très en colère mais je n'arrivais pas à identifier la cause de cette émotion. Je me suis refermée sur moi et j'ai éprouvé un grand agacement vis à vis de tout ce qui m'entourait, même envers mon amie et mon thérapeute. Une personne passant par là s'est confiée à nous et en l'aidant à trouver son chemin, m'a ramenée à l'instant présent. Merci à elle, je ne pense pas qu'elle était là par hasard. Nous avons poursuivi notre chemin et nous sommes reposés un peu. Doucement, la vitalité est revenue en moi jusqu'à l'apaisement lorsque nous avons fait la découverte des "arbres multiples". Il s'agit d'arbres ayant une même base à la racine mais plusieurs troncs en croissance, ce qui forme un coeur dans lequel nous pouvons entrer et nous installer. Adossée au coeur de cet arbre, j'ai ressenti un grand calme me gagner. Une sérénité. En regardant sa cîme, j'ai compris que nous étions pareils à l'arbre. Il a ses racines solides et profondément enfouies dans la terre, immobiles mais vivantes. Ses branches, quant à elles, sont soumises au monde extérieur. Elles bougent avec le vent, la pluie, vivent le changement des saisons et parfois peuvent casser par la violence d'une tempête ou d'animaux passant par là. L'humain est semblable à l'arbre. Nous avons notre être profond, ce calme intérieur, notre existence profonde paisible et solide, ce sont nos racines, notre vie. Et tout comme les branches de l'arbre, notre corps et notre mental vivent des changements et des variations en fonction du temps, des rapports humains, des aléas de notre quotidien. Les arbres nous rappellent cette force profonde que nous avons en nous mais que nous oublions en nous détournant du présent. J'avais déjà conscientisé cette idée mais je l'ai clairement ressentie à ce moment là.
L'étape la plus marquante de la Sylvathérapie fut pour moi le moment du Cri. Un grand moment de lâcher prise où, avec une branche, j'ai tapé sur un tronc en laissant sortir toute la colère enfouie sous forme de cri que je sentais venir du plus profond de moi. Ce fut extrêmement puissant et libérateur, autant physiquement que mentalement. J'ai terminé au sol à bout de force, avec la sensation de sortir la tête de l'eau. La présence bienveillante de mon thérapeute a été primordiale à ce moment-là car il m'a permis de ne pas rester prostrée mais de me ramener au moment présent et à la partie lumineuse de mon être.
Pouvoir voir mon amie vivre également ce moment a été très fort émotionnellement. J'ai été touchée de voir sur quelqu'un d'autre, combien nos résistances sont présentes mais aussi comment nous pouvons les lâcher en lâchant prise.
Nous avons terminé par une méditation en femmes végétalisées en duo.
Cette séance fut pour moi une révélation. Tous les états par lesquels je suis passée m'ont menée à cette sérénité. J'ai l'impression que ça a "fait de la place" dans ma vie et je me sens aujourd'hui beaucoup plus disponible à l'instant présent. Ce moment de partage m'a ramenée à mon être et m'a lancée dans un élan de partage et d'amour. Je suis très reconnaissante envers mon thérapeute qui m'a mise en confiance et m'a accompagnée tout au long de la séance. Je suis également reconnaissante envers mon amie pour sa confiance et sa grande empathie. Reconnaissante aussi, bien sûr, envers les arbres et la nature qui nous entourent et nous rappellent que nous sommes vivants. Quel bonheur !

Témoignage 10

S, 39 ans : ‌"Il y a un an et demi, j'ai ressenti le besoin de me faire aider et accompagner afin de traverser une période difficile de ma vie : la maladie de ma maman. Ce type de démarche fut une première pour moi.
 
Après quelques hésitations, je me suis lancée et j'ai pris rendez-vous avec Fatie, thérapeute à domicile.
Au premier SMS, il m'a répondu rapidement et j'ai immédiatement ressenti, à travers son retour, sa bienveillance. Ressenti qui s'est confirmé par la suite. 
 
Lors de notre première séance, Fatie a su me rassurer, avec écoute et empathie, et mettre l'accent sur des nœuds sensibles sur lesquels travailler (le lâcher-prise, ma confiance en moi, mon estime propre, l'acceptation de ses erreurs et celles des autres, l'exigence envers moi-même…)
Fatie a su me mettre à l'aise très rapidement. J'ai eu la conviction, à la fin de la séance, que je souhaitais entamer une thérapie avec lui.
 
Quelques séances plus tard, j'ai réalisé que mon besoin initial exprimé (travail sur mes angoisses liées à la maladie de ma maman) n'était pas le seul et que plusieurs autres objectifs thérapeutiques semblaient être pertinents à traiter (difficultés émotionnelles : manque d'affirmation, de confiance en moi et aux autres, difficultés relationnelles avec des personnalités difficiles dans mon entourage professionnel et familial " personnes toxiques".). 
En outre, j'ai pu aussi découvrir que mon hypersensibilité pouvait aussi devenir une force, MA force. 
J'ai donc pris conscience de me trouver dans un état anxieux lié à un manque de confiance en moi, aux autres ainsi qu'une problématique d'affirmation. 
 
Très investie dans mon travail, j'ai compris le sens de la citation :  " le trop de quelque chose est un manque de quelque chose" .
 
Les conseils de Fatie, ses divers exercices proposés, ses encouragements, nos échanges, nos lectures, ses anecdotes, ont contribué à comprendre ou mieux comprendre certains de mes comportements, agissements et/ ou non-agissements.
La technique thérapeutique de "la chaise brûlante" (mise en scène d'une situation vécue) m'a permis d'améliorer, entre autres, ma communication (verbale et non verbale).
 
Comme l'un des 3 singes de la sagesse, je fais partie de ceux et celles qui entendent et voient des choses mais n'en parlent pas (peur du risque…)
Aujourd'hui, je considère m'être un peu fortifiée pour parler, même si j'éprouve encore des difficultés à dire certaines choses.  
Et comme le disait Sénèque : " Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas que les choses sont difficiles."

Je pense utiliser un langage plus concis et je parle davantage en confiance. 
Je repense à certains de mes silences face à des situations vécues : de par mon accompagnement réalisé avec Fatie, j'ai aussi compris que le silence pouvait être incompris/ mal compris ou mal vécu par les autres et donc l'importance d'oser s'exprimer. Pour autant, je reste sensible et en accord avec le proverbe suivant : "N'ouvre la bouche que lorsque tu es sûr que ce que tu vas dire est plus beau que le silence".
 
 
On a tendance à oublier que les choses simples existent et tout le bien qu'elles peuvent engendrer.
Tel un (r)éveilleur de sens, Fatie a pu m'aider à retrouver le goût de m'accorder du temps, rien que pour moi… et d'avantage arrêter mon attention sur le moment présent et à Réenchanter mon quotidien.
Quelle joie d'entendre le délicat son d'un Kalimba, d'observer le ciel et les étoiles d'un balcon, de fleurir sa terrasse….!
J'ai compris l'importance de prendre soin de moi pour prendre soin des autres aussi, j'avais occulté cet aspect, avec un cumul de fatigue jusqu'à effleurer le surmenage professionnel.
Le goût donc et aussi la vue : Fatie m'a permis de mieux voir, en m'aidant à ouvrir les yeux sur l'essentiel .
 
Je recommande vivement Fatie, un très grand professionnel doté de très belles valeurs humaines. Cela est si précieux de nos jours…
Merci infiniment pour tout Fatie.
 
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